Amitié Latina

Publié le par Ana RUIZ CASTRO



3ème FESTIVAL SALSA DE SAINT JOSPEH
22 JUILLET 2006





Festival salsa de Saint Joseph

Dès la première édition, le public a répondu massivement! On comprend vite pourquoi : la scène du Parc du Grand Séminaire a déjà accueilli les années précédentes, plusieurs grand noms de la salsa tels que Eliades Ochoa et Oscar De Leon !


Pour le 3ème année consécutivele Festival Salsa de Saint Joseph investira samedi 22 juillet, le Parc de la Mairie des 13ème et 14ème arrondissements pour une soirée en plein air haute en couleurs.

L’incontournable Colombien Yuri Buenaventura, Alternativa, et bien d’autres groupes aux accents sud américains viendront faire vibrer le coeur des marseillais, qu’ils soient des quartiers nords ou des quartiers suds, jeunes ou vieux, hommes, femmes ou enfants!
Le Parc du grand Séminaire deviendra le temps d’une soirée, une piste de danse géante dédiée à la salsa, un lieu de rencontre, de joie et de bonheur partagé.



Parc de la Mairie

YURI BUENAVENTURA

 

Yuri Buenaventura

Après avoir fait chalouper l'hexagone avec sa
lumineuse version à contre courant de "Ne me quitte
pas " de Jacques Brel, Yuri Buenaventura, le roi de la
salsa, ne cesse d’embraser la France…

Yuri Buenaventura vient d'une région paumée de Colombie à la tradition musicale afro très forte. Son île natale, sa terre de référence, s'appelle... Buenaventura : il en a fait son pseudonyme.

Etudiant en économie à Nanterre, il a appris à jouer des percussions pour survivre. L'aventure a commencé dans le métro, puis il s'est retrouvé sur scène, chantant avec Azuquita et Mambomania. En quelques mois, Yuri est l’un des chanteurs de salsa les plus cotés du Paris latino. Une personnalité hors norme, une voix ardente, un disque pertinent et un coup de génie... Avec son groupe "Mambomania" tout d'abord, puis auprès du percussionniste Orlando Poleo, et de beaucoup d'autres ensuite.

Engagé et militant, il est surnommé "le Don Quichotte salsero" par la presse. Défenseur des Droits de l'homme, il se fait le messager de la liberté et dénonce les dérives du néo-libéralisme colombien et plus généralement d’Amérique du Sud. Sa force : parler de la force de la culture latinoaméricaine avec coeur et gaieté.



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